sérigraphie sur simili japon, 60 x 80 cm, 8 exemplaires, numérotés et signés - 2010
a
http://liseduclaux.be/greyzone/
www.ooooo.be/greyzone
www.z33.be
sérigraphie sur simili japon, 60 x 80 cm, 8 exemplaires, numérotés et signés - 2010
a
http://liseduclaux.be/greyzone/
www.ooooo.be/greyzone
www.z33.be
le vagabond, pour un monde sensible, des bourbourgeois ordinaires et extraordinaire
exposition du 22 janvier au 5 février - 2010
EROA, Collége Jean Jaurès de Bourbourg, place Jean Jaurès, F- 59 630 Bourbourg
édition, 2 x 116 x 140 cm 80 ex, numérotés et signés - 2010
édition recto/verso pliée 29 x 16 cm, 300 ex
à tous les vivants qui continuellement sont entravés dans leurs mouvements
se font couper la tête régulièrement
tentent tous les soirs de traverser la mer désespérément
Biennale 09 - Charleroi/Danses
le 14, 17, 18, 19, 20, 21 novembre de 10h à 18h
vitrine rue Neuve, 6000 Charleroi
performance - installation
avec Tarek Halaby, Aleksandra Janeva, Eva Klimackova, Samuel Lefeuvre, Anne-Cécile Massoni, Gustavo Miranda
Charleroi, centre ville, en automne. A l'heure où la plupart des gens presse le pas, regard baissé, sur les trottoirs encombrés, un couple défie la linéarité du quotidien. Moment anachronique de bonheur souriant, respiration insolite dans l'étouffant train-train. Derrière une vitrine, pendant les heures de bureau, Lise Duclaux nous propose une image de vie, loin de toute préoccupation rentable. Loin de la course effrénée d'une société obsédée par la productivité.
tentative d'inventaire des habitants ordnaires et extraordinaires chez Rita
avec fautes d’orthographes originales et véritables de l’artiste - 2009
Trouble - fait
avec Julien Celdran, Nolwenn Dequiedt, Lise Duclaux, Jerôme Giller, Dialogist-Kantor, Bernard Mulliez et Emmanuel Tête
Chez Rita, 49 rue Daubenton 59100 Roubaix
18-19 et 20 octobre 2009
Info : http://librairiedesartistes.free.fr/
Chez rita
49 ru Daubenton, 59100 Roubaix
projection, samedi 19-09-09, 18h
du 11 au 314
dv pal 54min, 4/3, 2008
Bruxelles, à proximité du centre, à 15 minutes à pied de la Grand Place, une femme sort du 11 rue du cheval noir. Elle marche, elle longe le canal, traverse des quartiers cosmopolites, délabrés et désargentés. Elle y croise les réalités de la condition humaine, les voitures, les commerces, les usines, les marchands, les immeubles, les péniches, les passants. Son trajet de 7 km l’emmènera en face du 314 rue des Alliés, où la réalisatrice a habité.
Ailleurs, en voix-off, on entend les souvenirs de la vie au 314. Souvenirs d’une maison distribuée en appartements, avec ses différents personnages à chaque étage, son interminable fuite d’eau aux toilettes, ses discussions dans la cage d’escalier, son occupation maximale de la cave au grenier.
Dans les pensées et les lieux traversés s’infiltrent des moments suspendus, poétiques, légers comme un chant et une danse.